Un vent d’orage
Tome 2. Les équations
Éditions Hurtubise, 29 août 2024, 280 p.
1944. Lasse de se sentir impuissante devant les atrocités de la guerre, Alice décide de passer à l’action : elle déménage à Montréal dans une pension de famille et devient calculatrice au laboratoire de l’Université de Montréal, où travaille déjà son frère Simon.
Loin de son mont Saint-Hilaire et de sa classe d’élèves du primaire, elle doit se familiariser avec cette grande ville. Elle pourra compter sur l’amitié de sa colocataire Deborah, qui lui fera découvrir l’univers des boîtes de nuit. Alice s’avoue enfin qu’elle rêve de vivre l’amour, au risque d’être écorchée. Sa rencontre avec Adam, un étudiant en droit, lui offre la possibilité de se forger un avenir enviable. Cependant, le retour inattendu de Frédéric l’ébranle. Qu’a donc ce jeune homme pour qu’elle en perde tous ses repères ?
Pendant ce temps, au laboratoire, les recherches piétinent, freinées par un approvisionnement d’uranium au compte-gouttes. De plus, la rumeur voulant que des espions étrangers se soient infiltrés dans l’université nourrit la méfiance générale.
Alors que jaillit en elle une nouvelle soif de vivre, Alice saura-t-elle écouter son cœur ?
Un vent d’orage
Tome 1. Un vent d’orage
Éditions Hurtubise, 14 mars 2024, 280 p.
1943. Alice Fafard, vingt ans, étudie à l’École normale pour devenir enseignante. Elle suit avec un mélange de résignation et de désenchantement une voie déjà toute tracée. Son Brevet obtenu, elle cherche un poste dans une école de la région, en attendant de trouver un prétendant en cette époque où les hommes de son âge se font rares. Pourtant, derrière ses airs tranquilles se cache une grande passionnée de mathématiques, un domaine dans lequel elle excelle. Plus que tout, Alice veut vivre pleinement, goûter à la liberté au-delà des limites imposées aux femmes.
C’est peut-être par les travaux menés dans les locaux de l’Université de Montréal qu’elle pourra s’accomplir… Dans un des nouveaux pavillons de cette institution a été aménagé un laboratoire secret où œuvrent de brillants scientifiques. Physiciens, chimistes et mathématiciens travaillent d’arrache-pied pour maîtriser une énergie nouvelle qui, espère-t-on, pourra mettre fin à la guerre. Simon, le grand frère d’Alice, fait d’ailleurs partie de ce groupe sélect.
Sur fond de course contre la montre, Alice cherche à contribuer à la résolution du conflit tout en assouvissant sa curiosité. Et si c’était en mettant à profit son don pour les chiffres qu’elle trouvait sa place ?
Un vent d’orage
Tome 1. L’électron libre
Éditions Hurtubise, 14 mars 2024, 280 p.
1943. Alice Fafard, vingt ans, étudie à l’École normale pour devenir enseignante. Elle suit avec un mélange de résignation et de désenchantement une voie déjà toute tracée. Son Brevet obtenu, elle cherche un poste dans une école de la région, en attendant de trouver un prétendant en cette époque où les hommes de son âge se font rares. Pourtant, derrière ses airs tranquilles se cache une grande passionnée de mathématiques, un domaine dans lequel elle excelle. Plus que tout, Alice veut vivre pleinement, goûter à la liberté au-delà des limites imposées aux femmes.
DANS LES MÉDIAS
Les équations un roman fascinant et captivant !
Shirley Noël,
Les Arts Zé
Josée Ouimet a une très belle plume, simple, captivante, avec un bon mélange de descriptions imagées et de dialogues et réflexions qui nous fait voir la vie des gens de cette époque où les femmes commencent à s’émanciper, à vouloir leur indépendance et ne pas être sous le joug de l’homme. Elle amène des sujets complexes et parfois tabous, surtout à cette époque, comme l’homosexualité, le viol, mais aussi des thèmes comme le coup de foudre, l’amitié et l’athéisme.
Au final, ce deuxième tome est aussi fascinant et captivant que le premier et j’ai bien hâte de lire le troisième et dernier tome de la série à l’hiver 2025, alors qu’avec l’arrivée de l’année 1945, on peut penser qu’avec la fin de la guerre ce sera le démantèlement du laboratoire et le retour des femmes dans leurs foyers…
Josée Ouimet raconte la vie quotidienne de femmes embauchées comme calculatrices dans un laboratoire pendant la Seconde Guerre mondiale dans sa série «Un vent d'orage»
Marie-France Bornais,
Le Journal de Montréal
Dans Les équations, deuxième tome d’une série consacrée aux mystérieuses recherches menées dans un laboratoire nucléaire ultrasecret de l’Université de Montréal pendant la Seconde Guerre mondiale, Josée Ouimet en apprend plus à ses lecteurs sur la vie professionnelle et la vie intime de son héroïne, Alice, embauchée comme calculatrice. Nous sommes en 1944. En marge de son travail très prenant, Alice se familiarise avec la vie citadine, sort avec ses amis et cherche l’amour.
Josée Ouimet, en parallèle, raconte les travaux scientifiques et le travail des fameuses calculatrices, ces femmes qui ont été engagées pour vérifier et compléter d’interminables équations pour les recherches menées par les physiciens.
Un vent d’orage, l’électron libre, explore l’univers fascinant des recherches nucléaires en temps de guerre
Shirley Noël,
Les Arts Zé
Josée Ouimet vient de publier le premier tome d’une nouvelle série à saveur historique captivante, Un vent d’orage tome 1 l’électron libre, aux éditions Hurtubise. Cette cinquième saga se déroule à Montréal vers la fin de la 2e guerre et plonge le lecteur au cœur d’un laboratoire secret, grand centre de recherche nucléaire. Voilà un secteur qu’on a peu exploré dans les romans d’époques, les chercheurs scientifiques et la course au développement de la bombe atomique à laquelle on assiste durant la guerre. Un roman fascinant à découvrir!
Josée Ouimet décrit le travail des femmes douées en mathématiques qu'on employait dans un laboratoire montréalais pendant la Seconde Guerre mondiale
Marie-France Bornais,
Le Journal de Québec
Dans sa nouvelle saga historique, Un vent d’orage, la romancière Josée Ouimet lève le voile sur le travail de nombreuses femmes douées en mathématiques qui ont travaillé dans un laboratoire de l’Université de Montréal en 1943. Ces femmes qu’on appelait les calculatrices ont travaillé sur un projet exploitant une nouvelle forme d’énergie très puissante. Sans le savoir, de nombreux scientifiques réunis à Montréal ont collaboré à l’élaboration de la bombe atomique.